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Objet : Obsession
date : Mardi 26 Octobre 2010 15:23 PM
D'autres images sont venues dans la case "passerelle" ce n'est pas celle qui est représentée ci-dessus, mais c'est dans l'esprit.
Je sais que je les ai quelque part je les retrouverai, l'une représentait un pêcheur indonésien pêchant en pleine mer sur une espèce de construction de bambou à l'équilibre presque miraculeux et l'autre une sculpture que j'ai vue dans un vieux bouquin et qui représentait simplement une assemblage improbable et un peu bancal de tiges de métal liées entre elles.
Je pense que si ces images viennent petit à petit se coller entre elles ce n'est évidemment pas un hasard.
Le lien semble évident , quand je tente d'expliquer ma personnalité cette phrase ressort tout le temps...'je suis quelqu'un qui s'est construit sur une architecture bancale"
à suivre........ la prochaines collection pourrait elle être "équilibres improbables"?
Ce qui pourrait à la fois mêler les hommes et les femmes et être le premier pas de la serénité au mal être....
Il faut que je continue de tirer sur ce fil, pour voir ou il me mène.
Je t'embrasse
marie
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Marie-Paule Deville-Chabrolle
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Objet : RE:Obsession
date : Mardi 26 Octobre 2010 17:42 PM
Bon sang, ça m'énerve, je n'arrive pas à remettre la main sur "mes "photos....je sais que je les ai!!!
et toi toujours débordée?
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Marie-Paule Deville-Chabrolle
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Objet : RE:Obsession
date : Mardi 26 Octobre 2010 22:12 PM
Pas débordée mais pas dans le même rythme où la même disponibilité d'esprit que toi quand tu désertes l'atelier ça c'est sûr !
J'aime bien cette idée d'"équilibres improbables"
Tout comme j'aime bien ta photo qui me fait penser à la maison de Zorg-JeanHugues Anglade qu'on avait vu au ciné il y a ... pffuittt... trop longtemps. J'adorai sa cabane sur Pilotis et je ne peux m'enlever de l'idée que s'il n'a pu écrire qu'un seul roman c'est qu'il avait besoin d'être dans une maison à peine reliée au monde. Alors évidemment quand la cabane a brûlé et qu'il a fallu revenir sur la terre ferme.... c'est devenu presqu'impossible de reprendre un stylo.
Allez, pour la note d'ambiance, un extrait de la BO de 37°2 le matin par Gabriel Yared. ça s'appelle "C'est le vent, Betty"